De A à Reine :
Et voici 15 mn de Lofoten, de Reine à Ramberg, enjoy...
regardez si possible sur votre télé HD en 1080
mercredi 25 juillet 2012
jeudi 19 juillet 2012
Utile...pas utile...
Super utile :
-short et pantalon de sport, ne prend pas de place.
-tongues pour aller à la douche et dans les huttes
-mousse à raser format voyage, tient le mois
-sous-pantalon + sous vêtement chaud (1 suffit)
-tour de cou étanche à mettre par dessus les vêtements (chez Leclerc 8€)
-gants hiver étanches
-poignées chauffantes
-veste de pluie qui fait aussi office de coupe vent. Ixon neon fluo très visible , testée sur les autoroutes allemandes sous une pluie intense et visibilité quasi nulle. A l'allure ou roulent les allemands il vaut mieux être vu.
-Décapsuleur pour la bière du soir
-sacs étanches , un type polochon pour les sacs de couchages, linge sale,et un à ouverture par au dessus pour mettre les vêtements de pluie.
-porte-monnaie pour la monnaie étrangère.
-Boules quies de couleurs pour les oreilles.
-Cache pour les yeux , les volets étant inexistants et la clarté présente à toute heure.
-Draps type sac à viande (pas en soie, désagréable au contact)
- Système de communication entre motos style G4 scala rider ,possible de parler à 4,extra :)
Utile :
-appareil photo qui tient dans la poche,facile à dégainer.
-
casque modulable pour les nombreux arrêts.
-
- gopro hero hd 2 pour garder des souvenirs. J'avais deux batteries, il aurait fallu une troisième pour tenir la journée. + une carte SDHC 32GO classe 10.
- Mini pc pour vider les cartes sd, internet pour le blog et skype pour converser gratuitement.
- Disque dur externe pour sauvegarde, de préférence anti choc type ssd.
-
Polaires en plusieurs couches plutôt qu'un gros.
-
Chargeurs divers.
-
Porte vue avec le déroulement des étapes
- Guides verts et du routard pour les restos
- Un stock de bonne humeur
inutile:
-carte Key Camping Europe. Personne ne la prend et aucune réduction dans les ferries. Une vraie arnaque qui coute 15€ quand même.
-Sacs de couchage utilisés deux fois. On aurait pu louer des couvertures et éviter de trimballer des sacs et gagner de la place;. Il y avait toujours des couvertures et oreillers sauf deux fois.
-pantalon en jean moto, servi qu'une fois pour me promener. J'ai toujours roulé avec mon cuir comme Marc.
-cartouche de gaz et bruleur, servis deux fois seulement car on trouve toujours des cuisines avec tables dans les campings et hôtels en Scandinavie (pas en Allemagne)
-le gros stock de bouffe qui peut être réduit puisqu’on trouve des supermarchés pratiquement partout , emmener 2 à 3 boites de secours, du café, du sucre, sel ...
Ce que j'aurais du emmener :
-Slips sport fins type kalenji de décathlon, gain de place.
-
Ce qui ne m'a pas servi :
-Bidon d'huile, pas eu besoin de remettre une goutte en 10,000km.
-
Corde à linge , on trouve des machines à laver et séchoirs dans tous les campings et hôtels.
-
-Lampes torches , il fait jour à toute heure en Scandinavie. (peut être utile en Allemagne, Belgique,France)
-
ventouse pour accrocher ma gopro
- Livre, pas eu le temps de lire
- Pantalon de pluie épais mac adam car il prenait l'eau, remplacé efficacement par un pantalon de pluie de rando simple de chez decath à 15€ qui a l'avantage de ne pas prendre de place. revit fait aussi un ensemble très compact avec des bandes fluo en plus pas négligeables.
A compléter...
jeudi 12 juillet 2012
Les remarques de Marc sur ce qui l'a marqué au Danemark mais pas que...
CAP
NORD 2012 IMPRESSIONS
QUE
DU BONHEUR !!
« Un
peu court » diraient certains avec raison : aussi vais-je
« détailler » ce bonheur, crescendo en gardant le
meilleur pour la fin :
- La moto : 1400 GTR 2011, pneus Michelin Pilot road 3, avec quelques options dont la selle au gel et chauffante ; que du bonheur, confortable, vivante, économique (5,1 l en moyenne sur 9960 km), il ne manquait qu’un régulateur de vitesse pour les longues étapes autoroutières. Le pneu arrière était rincé à l’arrivée, principalement sur les côtés, en raison de la charge en hauteur et des revêtements routiers abrasifs de Scandinavie.
- Le parcours : établi par Franck, il me convenait parfaitement, approche détaillée de la Norvège grâce à des étapes raisonnables permettant visites et de fréquentes pauses photos ; le but était le Cap Nord, certes mais sans négliger la beauté des paysages norvégiens, donner du temps au temps pour s’en imprégner et nous permettre d’échanger nos impressions. Prendre le temps également sur le retour de découvrir la Suède et le Danemark et leurs capitales. Que du bonheur ! bravo à toi, Franck, pour ta préparation minutieuse.
- La Norvège : la clef de voûte du voyage, le point d’orgue … Certes, la météo nous a accompagnés, azurant à la fois les paysages, notre émerveillement et nos souvenirs ; le Cap Nord était dans le vent, le froid et le brouillard : ne serait-ce pas la volonté de Dame Météo afin que ce spot, titre de notre voyage, n’occulte toute la beauté de ce pays. Ne me demandez pas de choisir entre la magnificence des fjords, l’harmonie des paysages s’offrant à nous de manières différentes à chaque virage, ajoutant quelquefois des parfums marins à la palette des couleurs, le rythme reposant imposé par les bacs, la mélancolie sauvage de la Laponie, la gentillesse, l’amabilité et le sourire des habitants ; ce puzzle de sensations ne peut supporter la préférence d’une de ces pièces. Oui, la Norvège c’est un tout, c’est que du bonheur !
- Le compagnon de route : que du bonheur ! On se calme au premier rang, on avait chacun sa moto, de plus l’épouse de Franck nous a rejoint pratiquement pendant une petite moitié du périple (et l’autre grande moitié ça ne vous regarde pas !).
J’ai
hésité à inverser ce point avec le précédent : après
réflexion, il m’a semblé que le point 3 ne pouvait être aussi
fort que parce que ce point 4 avait été si positif. La découverte
de la Norvège aurait-elle été la même avec des tensions entre les
personnes ? Partir à plusieurs rajoute cette dimension humaine
qui peut « sublimer » ou pourrir un voyage.
J’ai fait
connaissance du « couple Ledoux » 5 semaines avant le
départ. Me retrouvant seul après le désistement de 2 amis, j’ai
contacté Franck mi-mars et très rapidement le courant est passé,
quelle chance : même conception du voyage, même enthousiasme.
C’était son projet, mais à plusieurs reprises il m’a proposé
de le modifier selon mes centres d’intérêt : inutile, nous
avions les mêmes !!! (non pas que les blondes !)
Aucune
mauvaise humeur de sa part (même après la perte de sa carte
bancaire, l’inquiétude étant pourtant présente), gars facile à
vivre, il va même jusqu’à être le dernier prêt le matin pour
éviter de vous stresser !! (certains comprendront !). A
cela s’ajoute la qualité des prises de vue, et la prise en charge
du blog tous les soirs, mon rôle étant de gérer l’intendance et
la cuisine (mon dada !) : nous étions complémentaires
donc (on se tait aussi au 2ème
rang et on ne ricane pas !). De plus quand Laure, son épouse,
était des nôtres, je ne me suis jamais senti isolé et je tiens
encore à les en remercier. Pas de défaut ? Si, quand vous
arrivez à l’étape, pensez à dérouler du rue-balise pour
sauvegarder un espace pour poser au moins le tour de cou !!
(j’exagère, j’arrivais à ranger aussi ma trousse de toilette,
soyons honnête !)
Franck
est un gars à connaître (sa femme aussi ! en tout bien tout
honneur), sympa, la blague facile, d’humeur égale : suivez
ses futurs projets, si l’un d’entre eux vous intéresse,
n’hésitez pas à l’accompagner : que
du bonheur !!
Non
seulement je souhaite qu’il reste un ami, mais j’espère réaliser
d’autres trips motocyclistes avec lui (l’Ecosse, les capitales
d’Europe …)
Salut
à toi Franck et merci !
Marc
mardi 3 juillet 2012
Samedi 30 juin. De Paris à Lyon, le retour
Beau temps pour démarrer la journée,
bon signe.
Il fait même un peu frais en roulant
avec 180. Quelques gouttes de pluie sur deux km c'est tout ce qu'on
aura de la journée.
A la pause repas je remets ma veste de
pluie. Grave erreur le thermomètre ne cesse de monter et bientôt
avec les 30° ambiants je crève de chaud. D'autant plus que mes
gants d'été sont dans le sac de pluie tout en dessous. On fait des
pauses pour se raffraichir.
Marc entend à la radio de son scala rider G4 qu'il y a 9 km de bouchons au péage de Villefranche avant Lyon. On prend la sortie avant et on passe par la campagne au milieu des plans d'eau de la Dombe. Il est 16h quand on arrive, la boucle est bouclée.
Marc entend à la radio de son scala rider G4 qu'il y a 9 km de bouchons au péage de Villefranche avant Lyon. On prend la sortie avant et on passe par la campagne au milieu des plans d'eau de la Dombe. Il est 16h quand on arrive, la boucle est bouclée.
Vendredi 29 juin. De Dortmund à Paris
600 km d'autoroute et l'enfer du périph parisien
On a regardé la météo
la veille, des orages et même de la tempête sont annoncés sur
notre parcours.
Les autoroutes allemandes
sont toujours aussi dangereuses avec les bolides qui nous foncent
dessus sans arrêt avec un total mépris. Sans arrêt des travaux
. À l'occasion d'une zone
de travaux Marc prend à gauche et moi à droite pensant que les
voies se rejoignaient et je me retrouve sur une sortie menant à la
même autoroute mais en sens inverse, jamais vu un truc pareil.
Le temps de trouver le
moyen de reprendre la route dans le bon sens et nous sommes perdus.
Marc s'est arrêté à un parking mais je ne le vois pas et file pour
le rattraper
Mon gps fait des siennes
et je roule vers Liège que j'avais repéré la veille comme point de
passage. Une très longue zone de travaux et des centaines de
voitures au pas sur plusieurs km encore. Je suis les autres motards
qui roulent coté travaux ,devant la police qui laisse faire.
Au parking après
l'aéroport j'attends Marc qui ne tarde pas à arriver et on reprend
la route ensemble.
Deux fois il a plu sur
tout le parcours, à peine quelques km, on s'en sort bien. Un vent
par moment dans les plaines qui est un peu fort mais qui ne fait pas
baisser notre moyenne.
Il faut prendre de
l'essence, nous en profitons pour manger un plat typique belge, enfin
c'est ce que j'aurais voulu mais nous avons le choix entre un resto
chinois et un kebab. Va pour l'assiette de kebab et sa boisson à
8,50€ qui nous change des prix scandinaves.
Paris approche et sa
circulation épouvantable en ce vendredi après midi de départ en
vacances. Le périph parisien c'est l'enfer. De temps en temps je
roule entre les voitures sur la 3ème à 4ème file. Je laisse passer
des cohortes de deux-roues ,du scooter à la goldwing qui prennent
des risques incroyables à des vitesses qui font frémir. Avec mes
grosses valises et les 600 bornes qu'on vient de faire je ne me sens
pas trop de faire l'équilibriste . De temps en temps ,après le
passage d'une goldwing taxi je me risque un peu vite rattrapé par la
meute. Marc a pris le sillage des motos et a disparu, emporté par
son stress de la ville et son désir d'en sortir le plus vite
possible. Il aura beaucoup d'avance sur moi qui préfère limiter les
risques, je n'ai pas d'autre moyen de locomotion pour aller au boulot
ensuite.
Enfin à 18h ,au lieu de
16h30 dixit le gps j'arrive chez mes amis à Orsay ou nous passerons
une excellente soirée barbecue.
Demain le retour....bouh
jeudi 28 juin 2012
Jeudi 28 Juin . De maribo (Danemark) à Dortmund (Allemagne)
Journée galère.
On quitte notre super appartement qui conviendrait très bien
pour plus de temps.
On choppe juste à temps le ferry à Rodby pour Puttgarden. C’est super mal indiqué.
On choppe juste à temps le ferry à Rodby pour Puttgarden. C’est super mal indiqué.
45 mn de traversée tranquille. Pas de vent, il fait beau
avec 18°, c’est agréable.
Les autoroutes allemandes sont gratuites mais celle que nous prenons, la 1, nous aurions préféré qu’elle soit payante et finie car là ce ne sont que des tronçons qui sont faits chaque année. On roule souvent à 80km/h ou en partie sur la voie inverse. On se traine.
Il fait de plus en plus chaud, on enlève des couches à l’arrêt repas.
Les autoroutes allemandes sont gratuites mais celle que nous prenons, la 1, nous aurions préféré qu’elle soit payante et finie car là ce ne sont que des tronçons qui sont faits chaque année. On roule souvent à 80km/h ou en partie sur la voie inverse. On se traine.
Il fait de plus en plus chaud, on enlève des couches à l’arrêt repas.
550 km , il nous reste 200 à faire, ça va être vite plié
pense-t-on. Mais c’est sans compter sur un embouteillage annoncé de 16 km que nous ferons
en partie au pas, sur les 1,50 m de voie d’urgence quand les camions ne nous
bloquent pas le passage. Il fait près de 30° et encore plus près des moteurs
des bahuts. J’ai encore un polaire et mes gants d’hiver, je crève littéralement
de chaud et suis près de la syncope mais il n’y a pas d’endroit pour s’arrêter.
L’autoroute est coupé et on part dans la campagne allemande avec un bouchon
énorme. On double tant qu’on peut mais avec les virages et les voitures qui ne
se poussent pas plus celles en face qui vous foncent dessus pour vous « apprendre »
c’est très long. On a encore enlevé des couches mais on cuit. On aura passé
trois heures pour faire 30 km et on est occis.Les derniers 150 km seront faits
à des allures de tgv malgré la limitation à 120 ou 100 que personne ne
respecte. Des missiles audi, bm , mercedes,porsche…nous foncent dessus constamment.
Jamais vu autant de voitures allemandes de ma vie et toutes puissantes. Leurs
conducteurs sont survoltés, il y a le match de coupe d’Europe ce soir, les
drapeaux sont accrochés sur les vitres des voitures, des ballons sur les
antennes radio, des protège-rétro aux couleurs du pays. On arrive enfin à l’hôtel à 19H40. L’établissement
fait aussi pub, resto avec écran géant pour le match. Notre chambre est à
thème, sur celui de la prison, c’est très réussi. Pour une nuit ça ira. J’ai
caché ma savonnette.
Demain pluie annoncée et près de 600 km jusqu’à Paris…
mercredi 27 juin 2012
Mercredi 27 Juin. Copenhague
Nous quittons la Suède par le bateau de 9h35 qui fait en 20
mn pour 25€ le trajet de Helsingborg à Helsingor. La mer est calme, le temps
est couvert.
Nous faisons rapidement les 50 km qui nous séparent de Copenhague par une voie rapide.
On se gare près de la petite sirène, sur le bord d’un parking privé .
Nous faisons rapidement les 50 km qui nous séparent de Copenhague par une voie rapide.
On se gare près de la petite sirène, sur le bord d’un parking privé .
Je peux enfin voir la petite sirène, presque la toucher :)
On fait la balade dans la ville entièrement à pied. J’ai troqué mes bottes
contre mes baskets, cela va beaucoup mieux.
La relève de la garde a lieu tous les jours à midi au palais Amalienborg. Pas de drapeaux, la reine n’est pas là et disons le mot cette relève est minable et traine en longueur, sans intérêt. Je suppose que si sa majesté est là ce doit être plus relevé comme on le voit sur les cartes postales. La prochaine fois on l’appellera avant de venir.
La relève de la garde a lieu tous les jours à midi au palais Amalienborg. Pas de drapeaux, la reine n’est pas là et disons le mot cette relève est minable et traine en longueur, sans intérêt. Je suppose que si sa majesté est là ce doit être plus relevé comme on le voit sur les cartes postales. La prochaine fois on l’appellera avant de venir.
Pas mal de bâtiments sont en rénovation comme l’église
Fredericks, les ouvriers font un tel boucan qu’on se sauve vite fait .
Dommage pour les nombreux panneaux « silence » et un seul « men
at works ».
On arrive à la nouvelle place royale et on est littéralement scotchés par le nouveau port très coloré et chatoyant. On y prend d’ailleurs notre repas de poisson frit confortablement installés.
On fait le tour du château de Christiansborg puis on passe par des rues piétonnes très animées. Les terrasses des restaurants et café sont bondées.
Je fais quelques emplettes et paie en euros, c’est bien pratique et pas plus cher.
Partout des milliers de vélos et de cyclistes qui déboulent à toute allure collés aux précédents. C’est très dangereux de traverser et de couper le flot en moto.
On revient tranquillement à la petite sirène que je n’hésite pas à re-photographier sous le ciel bleu de cet après-midi.
Il nous faut près d’une heure pour nous extraire de la ville. Des embouteillages, des travaux, des déviations plus des erreurs d’interprétation du gps un peu perdu aussi…
On se retrouve enfin sur l’autoroute mais quasi à l’arrêt tant la circulation est dense. Les danois ne sont pas très courtois, Marc manque de se faire taper à l’arrière par une voiture qui change de file et qui en plus le klaxonne. Moi j’ai droit à un beau doigt d’honneur d’un danois dans sa grosse mercedes faché que je laisse une zone de sécurité de 30 mètres devant moi et qui me collait. Je change de file pour le laisser passer comme je fais avec tous les connards pressés en lui faisant signe d’aller jouer devant. Ca ne lui a pas plu, il s’est empressé d’aller coller la voiture devant.
La plupart, comme en Suède ne respectent pas les limites de vitesse et les dépassent de plus de 30, 40 km/h et vous foncent dessus avec leurs grosses bagnoles. Mais il n'y a pas de police en Scandinavie ?
Le vent est très fort, on commence à avoir l’habitude et on arrive très rapidement à notre hébergement. Là on est dans la cour d’une ferme, un peu surpris, avec des poules, des moutons, des chèvres, des chiens, des chats…L’appart est super beau et grand pour seulement 43€. Si vous passez par là c’est une super halte.
On arrive à la nouvelle place royale et on est littéralement scotchés par le nouveau port très coloré et chatoyant. On y prend d’ailleurs notre repas de poisson frit confortablement installés.
On fait le tour du château de Christiansborg puis on passe par des rues piétonnes très animées. Les terrasses des restaurants et café sont bondées.
Je fais quelques emplettes et paie en euros, c’est bien pratique et pas plus cher.
Partout des milliers de vélos et de cyclistes qui déboulent à toute allure collés aux précédents. C’est très dangereux de traverser et de couper le flot en moto.
On revient tranquillement à la petite sirène que je n’hésite pas à re-photographier sous le ciel bleu de cet après-midi.
Il nous faut près d’une heure pour nous extraire de la ville. Des embouteillages, des travaux, des déviations plus des erreurs d’interprétation du gps un peu perdu aussi…
On se retrouve enfin sur l’autoroute mais quasi à l’arrêt tant la circulation est dense. Les danois ne sont pas très courtois, Marc manque de se faire taper à l’arrière par une voiture qui change de file et qui en plus le klaxonne. Moi j’ai droit à un beau doigt d’honneur d’un danois dans sa grosse mercedes faché que je laisse une zone de sécurité de 30 mètres devant moi et qui me collait. Je change de file pour le laisser passer comme je fais avec tous les connards pressés en lui faisant signe d’aller jouer devant. Ca ne lui a pas plu, il s’est empressé d’aller coller la voiture devant.
La plupart, comme en Suède ne respectent pas les limites de vitesse et les dépassent de plus de 30, 40 km/h et vous foncent dessus avec leurs grosses bagnoles. Mais il n'y a pas de police en Scandinavie ?
Le vent est très fort, on commence à avoir l’habitude et on arrive très rapidement à notre hébergement. Là on est dans la cour d’une ferme, un peu surpris, avec des poules, des moutons, des chèvres, des chiens, des chats…L’appart est super beau et grand pour seulement 43€. Si vous passez par là c’est une super halte.
Copenhague est vraiment à voir c’est magnifique et on est
loin d’avoir tout vu. En partant on est passés devant l’entrée des jardins de
Tivoli avec ses murs qui brillaient. Je regrette de ne pas avoir pu prendre de
photo, idem pour le palace et tous ses bâtiments en briques rouges comme celui
de la gare ?
C’est sur je reviendrai à Copenhague, un vrai coup de cœur :)
C’est sur je reviendrai à Copenhague, un vrai coup de cœur :)
Ps : j'ai une photo hyper sexy avec Marc et la petite sirène, je la mettrai si j'ai au moins trois commentaires...
Inscription à :
Articles (Atom)